Articles divers janvier - juin 2010

Une annonce très laconique mais à surveiller de près :

Citation :

Michel Delpech... Un "sexa en concert"

Concert le 6 mars 2010 : nouveau spectacle au Cirque Royal (Bruxelles) en collaboration avec Bénabar et Jean Paul Bathany. Quelques surprises en prévision !

Source : RTLInfo.be

Surprises = Duo(s) avec Bénabar ?

Le 6 mars est aussi le jour des Victoires de la Musique, en direct ...

Nous sommes très sages, nous, fans de Bénabar

Citation :

La bière est l'avenir du concert

Anne Jouan
19/01/2010
Le groupe de rock AC-DC en concert au Palais Omnisport de Paris Bercy (POPB), en février 2009. À 7 euros le demi litre de bière (Kronenbourg), c'est le POPB et l'Olympia qui tiennent le haut du panier. Au Zénith, la blonde (Kronenbourg) est moins chère : 5,50 euros le demi.
La manne de la petite mousse pendant le concert est conséquente pour les salles de spectacle. «Si on m'enlève la buvette, le prix des places augmentera de 20% !», confirme Daniel Colling le directeur du Zénith de Paris.

.......

À la différence du Zénith, le Palais omnisport de Paris Bercy (POPB) ne passe pas par un concessionnaire, c'est la salle qui se charge de la buvette pour laquelle elle emploie, selon les soirs, entre 40 et 70 personnes. Là aussi, ce sont les concerts de hard ou de métal qui consomment le plus. Ainsi, pour les deux spectacles d'AC-DC (17.000 spectateurs à chaque fois), les fans d'Angus Young ont bu plus d'un demi litre par personne... contre moins de 25 cl pour Bénabar.

La vente d'alcool est tellement importante pour les salles que le Zénith fait une remise de 10% sur le montant de la location si l'artiste fait un entracte... Il faut dire qu'au Zénith de Paris, la buvette représente pas moins de 20% du chiffre d'affaire annuel ! Au POPB, c'est 10% «seulement» à cause du nombre important d'évènements sportifs pendant lesquels il est interdit de vendre de l'alcool. «Je dis souvent, si on m'enlève la buvette, le prix des places augmentera de 20% !», confie Daniel Colling le directeur du Zénith de Paris. Certes, c'est l'artiste qui fixe le prix des billets et non la salle mais si cette dernière ne gagne plus d'argent avec le bar, elle augmentera la location et le montant des places sera majoré. C'est pourquoi Pascal Nègre, le PDG d'Universal Music France résume la situation ainsi : «la limonade, c'est l'avenir du music-hall !».

-------------------------------------------------------------------------------

Petit palmarès de la buvette du Zénith de Paris

Pour la saison 2008-2009, les spectateurs ont dépensé en moyenne et par personne :

2,34 euros pour Bénabar (variété)

4,04 euros pour Trust (hard rock français)

6,97 euros pour Alpha Blondy (reggae)

7,06 euros pour Prodigy (électro)

Pour lire l'intégralité de l'article c'est sur Le Figaro

Vu sur leblogtvnews.com

Ah super, c'est mon programme télé ! En général c'est d'ailleurs moi qui les distribue dans le village le dimanche matin (mais en l'occurrence pas cette semaine, Paris oblige ^^).
Je pourrai vous le scanner dès dimanche après-m' en rentrant (si pas trop épuisée hihih).

Merci Kiki !

J'achèterai Télé Magazine demain. Je ne connais pas cet hebdomadaire et je suis un peu étonnée de lire ces déclarations de Bénabar-le-gentil.

Avec l'étiquette d'Infréquentable, Bénabar ne se fait pas que des amis. Ils furent pourtant très nombreux, sur la route de l'Infréquentable Tour que le chanteur vient d'achever à Bercy et qu'il est désormais possible de revivre devant sa télé.
Récent papa d'une petite fille, l'artiste ne cherche d'ailleurs pas la consensualité (Benjamin Biolay peut en témoigner) : quand il y a un truc qui le défrise, il le dit. Et clairement !
Dernier exemple en date, un entretien accordé à TV Magazine, dans son édition à paraître demain, où il est largement question de... télé. Et paf, dans les dents du PAF !
S'il confie son amour des "vraies émissions de bouffe, comme celle de Jean-Luc Petitrenaud", par opposition aux fausses que nous vous laissons identifier, et plaide qu'une émission politique "se doit d'être chiante" pour être convaincante, Bruno Nicolini épingle également les programmes qui le dérangent le plus : ces mamans qui "maquereautent leurs enfants" dans Parental Control ; Ruquier, où il n'a pas voulu retourner la dernière fois pour éviter les émissions où il faut "juste parler de sa vie" ; Nouvelle Star, coupable de "laisser un gamin de 22 ans sur le trottoir après lui avoir fait faire des prime times et cinquante couv' de canards" ; la Star Ac', et "l'immense melon des gamins"...
Alors, il choisit ses apparitions : "Je fais de la promo, mais je ne suis pas obligé d'aller partout. Par exemple, j'ai été très mal reçu à La Fête de la chanson française par Daniela Lumbroso. Rien de grave, mais je ne ferai plus jamai rien avec elle". Décision un brin catégorique, pour un épisode qui n'a "rien de grave", tout de même ! Emplie de bons sentiments à l'approche de son Chabada de Saint-Valentin, l'animatrice du service public, face à l'infréquentable, serait donc... l'impardonnable ? Encore un motif à Gérard de la télé pour elle...
Claire Chazal, en revanche, a toutes les faveurs du chanteur : "J'adore les plateaux du JT. J'ai déjà fait celui de Claire Chazal. La grande classe ! C'était ma petite victoire de la musique".
"La télé de Bénabar", à retrouver en intégralité demain dans TV Magazine.

agnes a écrit:

J'achèterai Télé Magazine demain. Je ne connais pas cet hebdomadaire et je suis un peu étonnée de lire ces déclarations de Bénabar-le-gentil.

Je ne sais pas si on peut l'acheter, moi je l'ai gratuitement avec le "Ouest-France". Je sais qu'il est distribué avec d'autres quotidiens régionaux.

Oui c'est ça Kiki.
On ne peut pas les acheter séparément. Ici il est distribué avec l'Est Républicain.

Ah bon ! Je demanderai avec quoi il est distribué chez nous ...
@ Mélie : Je suis abonnée à l'Est Républicain, mais sans l'édition du dimanche ...

Erf ballot :/.
Je tâcherai de t'en récupérer un .

L'interview est sur leur SITE

La télé de Bénabar
«Les gamins de Nouvelle Star ont la grosse tête»




Photo : Christophe Fillieule / La Fabrik / F


Dix-huit heures dans un bistrot parisien. Passablement enrhumé, Bénabar se réchauffe avec une tisane. « Je sais, c'est pas folichon », s'excuse-t-il. Porté par le succès d'Infréquentable, le chanteur vient de clore sa tournée par un Bercy rempli à bloc. Peu adepte de la langue de bois, Bénabar met les pieds dans le PAF.

Qui vous semble « infréquentable » à la télé ?

Il y a un programme scandaleux, sur MTV je crois, où des mamans doivent dire pourquoi un p'tit mec doit sortir avec leur fille [Parental Control]. Elles maquerautent leurs propres enfants ! Je trouve ça flippant.

Quelles émissions trouvent grâce à vos yeux ?

Je me passionne pour les vraies émissions de bouffe, comme celle de Jean-Luc Petitrenaud.

Et Un dîner presque parfait ?

C'est très frustrant. Ils passent beaucoup de temps à montrer untel : « Et lui il a dit ça, parce que machin... ». Moi, les bruits de couloir... Sinon, j'aime bien les émissions politiques.

Beaucoup regrettent l'absence de débats...

Ce qui me gêne, c'est qu'on essaie de rendre la politique sexy. Une émission politique peut, et même se doit d'être ennuyeuse. La crise, c'est pas fun. Sur LCI, j'ai vu une émission où l'invité devait répondre par oui ou par non. Un homme politique ne peut pas. La politique est une chose compliquée.

Quelles émissions rêvez-vous de faire ?

J'adore les plateaux du JT. J'ai déjà fait celui de Claire Chazal. La grande classe ! Faire la grand-messe du 20 heures sur TF1 avec elle, c'était ma petite victoire de la musique.

Les émissions que vous refusez ?

J'évite celles où je vais juste parler de ma vie, où le but du jeu est de créer un clash. J'ai fait plusieurs fois Ruquier, mais, la dernière fois, je n'ai pas voulu y retourner.

À cause de Naulleau et Zemmour ?

Non. Me faire critiquer, j'ai les épaules, je l'accepte. Mais, maintenant, les invités sont complètement interchangeables, le seul truc recherché est d'alimenter le buzz sur Internet. Je n'ai rien à faire là-dedans. Je fais de la promo, mais je ne suis pas obligé d'aller partout. Par exemple, j'ai été très mal reçu à La fête de la chanson française par Daniela lumbroso. Rien de grave, mais je ne ferai plus jamais rien avec elle.

Star Academy, content que ça soit fini ?

Les appels surtaxés me gênaient. Mais j'ai sûrement tort, car plein de gens téléphonent...

Et Nouvelle Star ?

Je n'arrive pas à m'y intéresser. Je me sens solidaire des candidats qui sortent sans rien. Laisser un gamin de 22 ans sur le trottoir, après lui avoir fait faire des primes et cinquante couv' de canard, c'est une vraie responsabilité pour la production.

Ceux qui participent connaissent bien le fonctionnement des médias...

C'est vrai. Pour la promo du film Incognito, nous avions rencontré les finalistes avec Franck Dubosc. J'avais été frappé par l'immense melon des gamins ! Ils parlaient avec une telle condescendance à Franck, qui, tout de même, remplit des Zénith. Ça m'avait séché ! Ils étaient à deux doigts de me donner des conseils sur mes textes. Ça m'a fait rire, mais pas longtemps

Voilà le scan, seule la photo change :

Merci Kiki! Pour la réponse à la dernière question de l'interview, je comprends! Ceux qui font la star ac ou la nouvelle star se prennent la grosse tête rapidement!

swim a écrit:

Merci Kiki! Pour la réponse à la dernière question de l'interview, je comprends! Ceux qui font la star ac ou la nouvelle star se prennent la grosse tête rapidement!

Je trouve qu'il n'y a pas que dans le show-biz que c'est comme ça. Je ne dis pas que tous les jeunes sont identiques mais j'ai souvent eu des stagiaires dans mon service et, sous prétexte qu'ils avaient un BTS, c'est tout juste s'ils ne te prouvaient pas que tu aurais pu faire ton travail autrement !

Ah oui, ça ne m'étonne pas plus que ça!

J'ai beau me creuser la tête, je ne comprends pas pourquoi Bénabar a ressorti cette histoire de l'enregistrement de "la fête de la chanson française" d'il y a un an !!!

je pense que c'est parce que la prochaine édition à lieu dans quelques jours (fin l'enregistrement est déjà fait) et soit on lui a proposé et il a refusé, soit on lui a pas proposé et il est vexé, soit ça l'a vraiment marqué. Je n'ai pas vu l'émission mais je vois que ça fait débat sur le net depuis quelques jours, quelqu'un aurait la vidéo de sa prestation sur "à la campagne" ?

Oui, mais la décision de participer ou non à cet enregistrement a été prise depuis bien longtemps, en septembre déjà, Marion m'avait confirmé que Bruno ne participerait pas.
Je ne sais pas s'il existe de vidéo de ce passage. J'étais sur place et c'est vrai qu'il y a eu plusieurs "faux départs", 3 en milieu d'émission, et 3 vers la fin, dont la prise finale. ce n'était pas top top mais à la TV on ne s'est rendu compte de rien. D'autre part Bénabar était intervenu dans plusieurs duos, avec succès.

REGARDEZ BIEN LES PARTICIPANTS A LA TABLE RONDE I

France Numérique 2012 : Point d’étape et Points de vue

Le 16 février 2010 à la Maison de la Chimie à Paris

Sous le haut patronage et en présence de Frédéric Mitterrand, Ministre de la Culture et de la Communication et de Nathalie Kosciusko-Morizet, Secrétaire d’Etat chargée de la Prospective et du Développement de l’économie numétique aura lieu, le mardi 16 février 2010 à la Maison de la Chimie à Paris, "un point d’étape" et "un échange de Points de vue" sur le plan "France Numérique 2012"

Guillaume Vuilletet président d'ARTESI Île-de-France introduira, dans le cadre de la 1ère table ronde, la notion d’accompagnement aux usages de l'internet des publics concernés dans le cadre d’actions globales (comme la mise en place des ENT, des maisons de service public, l’action auprès des PME …)

Au programme
•08h45 - Accueil des congressistes
•09h15 – Ouverture des Rencontres par Jean Dionis, député du Lot-et-Garonne, co-président du Groupe d'études « audiovisuel et société de l'information » •09h30 - Ouverture des travaux de la matinée par Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'État chargée de la Prospective et du Développement de l'économie numérique
•10h00 - Table Ronde I - le déploiement des réseaux pour le développement des contenus
◦Accès aux réseaux numériques
■Où en est-on du basculement numérique de la diffusion audiovisuelle ? Le dividende numérique va-t-il permettre de déployer des nouveaux services d'accès à Internet très haut débit mobile ?
■La fourniture d'une prestation d'accès universel à l'Internet haut débit est-elle effective depuis le 1er janvier ?
■Comment augmenter la pénétration du dégroupage ? Entre délégation de service public et partenariat public-privé, quelle est la réponse la plus adaptée ?
■Quelle solution de complément à la fibre optique offre le satellite pour les zones les moins denses du territoire ?
◦Développement des contenus et services numériques
■L'offre de catalogues numériques constitue-t-elle une offre suffisamment attrayante ? La loi Hadopi permet-elle de protéger cette offre légale ?
■Les noms de domaine, un passage obligé pour asseoir, développer et protéger son identité sur Internet ?
■Administration électronique : vers une dématérialisation des échanges de bout en bout et l'unification des sites d'accès aux services publics ?
■Présidente
■Laure de La Raudière, députée d'Eure-et-Loir, membre titulaire de la Commission du dividende numérique
■Intervenants
■Yves Blanc, directeur de la Stratégie et des Relations institutionnelles, Eutelsat
■Patrick Bloche, député de Paris, co-président du Groupe d'études « Internet, audiovisuel et société de l'information >>
■David El Sayegh, directeur général, Syndicat national de l'édition phonographique (SNEP)
■Catherine Morin-Dessailly, sénatrice de la Seine-Maritime, présidente du Groupe d'études « Médias et nouvelles technologies »
■Bruno Nicolini*, alias Benabar, auteur-compositeur-interprète
■Guillaume Vuilletet, président de l'agence ARTESI Île-de-France
■Mathieu Weill, directeur général, Association française pour le nommage Internet en coopération (AFNIC)
•12h00 - clôture des travaux de la matinée par Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture et de la Communication
•12h30 - Déjeuner à la Maison de la Chimie
•14h15 – Table Ronde II : Créer les conditions de la confiance pour favoriser la croissance
■Créer les conditions de la confiance
■Quelles avancées suite à la loi pour la confiance dans l'économie numérique ?
■Comment garantir la protection des données personnelles ?
■Quels progrès de la lutte contre la cybercriminalité ?
■Créer les conditions de la croissance
■Comment adapter les politiques publiques dans le domaine des PME innovantes du numérique ?
■Comment adapter les formations aux besoins de l'économie numérique ?
■Quelles mesures pour accélérer la compétitivité et la croissance des entreprises par le numérique et rattraper notre retard ?
■Président
■Patrice Martin-Lalande, député de Loir-et-Cher, co-président du Groupe d'étude « Internet, audiovisuel et société de l'information »
■Intervenants
■Éric Brousseau, professeur, Université Paris Ouest - Nanterre La Défense, co-directeur du Groupement de recherche « Technologie de l'information et de la communication et société » du CNRS
■Nathalie Homobono*, directrice générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes, ministère de l'Économie, de l'Industrie et de l'Emploi
■Karen Le Chenadec, directrice du Département du développement numérique des territoires, Caisse des Dépôts
■Reine-Claude Mader, présidente, association Consommation, logement et cadre de vie (CLCV)
■Sophie Nerbonne, directrice adjointe, Direction des affaires juridiques, internationales et de l'expertise, Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL)
■Lionel Tardy, député de Haute-Savoie, membre du Groupe d'études « Internet, audiovisuel et société de l'information »
•16h30 - Clôture des rencontres par Jean Dionis, député du Lot-et-Garonne, co-président du Groupe d'études « audiovisuel et société de l'information »

Contact et inscription : Samira EL FITOURI


Source : Artesi-Ille de France

Pourquoi je n'arrive (vraiment) pas à être ravie de le "voir" là ? Qu'est-ce qu'il fait dans un machin "haut patronné" par Frédéric Mitterrand après l'avoir critiqué à son arrivée au gouvernement ?

Oh ! Bravo Bruno, j'aime quand il s'implique comme ça ! S'il y va c'est qu'il a quelque chose à dire, ce qui prouve qu'il n'est pas seulement "un chanteur populaire".

Je pense que la présence de F. Mitterrand est "accessoire" et répond plus à un certain protocole qu'à autre chose.

Il ne s'agit pas d'un meeting politique mais de tables rondes dont l'objectif est de travailler ensemble et d'essayer de trouver des solutions pour avancer ensemble.

Je trouve plutôt intéressant que Bénabar puisse participer à ce genre de débat parce que ça veut dire que d'une part son opinion sur la question est prise en considération et que d'autre part lui-même est assez ouvert pour oublier toute polémique et se positionner sur des sujets qui lui tiennent à coeur.

De source sûre, malheureusement Bruno ne participera pas à ce colloque ...

Merci Agnès ! Je ne comprends pas pourquoi les organisateurs avancent des noms comme ça...