Que lisez-vous ?

Clem a écrit:

et je m'apprête à commencer le Symbole Perdu de Dan Brown

Ah ben moi je suis en plein dedans, je l'ai reçu à Noël

Nathalie a écrit:

Ah ben moi je suis en plein dedans, je l'ai reçu à Noël

Oui, moi aussi , mais je viens de recommencer "hésitation" de Stephenie Meyer, et j'avais prêté le "symbole perdu" à mon père qui n'avait rien à lire en ce moment

Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates.
Mary Ann Shaffer & Annie Barrows



"Aussi fantasque que son titre, et drôle, tendre, incroyablement
attachant : voici un premier roman comme on n'en a pas lu depuis
longtemps, qu'on a hâte de se passer de main en main.

Je me demande comment cet ouvrage est arrivé à Guernesey ? Peut-être les
livres possèdent-ils un instinct de préservation secret qui les guide
jusqu'à leur lecteur idéal...
Janvier 1946. Londres se relève douloureusement des drames de la Seconde
Guerre mondiale et Juliet, jeune écrivaine anglaise, est à la recherche
du sujet de son prochain roman. Comment pourrait-elle imaginer que la
lettre d'un inconnu, un natif de l'île de Guernesey, va le lui fournir ?
Au fil de ses échanges avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre
son monde et celui de ses amis - un monde insoupçonné, délicieusement
excentrique. Celui d'un club de lecture créé pendant la guerre pour
échapper aux foudres d'une patrouille allemande un soir où, bravant le
couvre-feu, ses membres venaient de déguster un cochon grillé (et une
tourte aux épluchures de patates...) – délices bien évidemment
strictement prohibés par l'occupant. Jamais à court d'imagination, le
Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates déborde de
charme, de drôlerie, de tendresse, d'humanité – Juliet est conquise. Peu
à peu, elle élargit sa correspondance avec plusieurs membres du Cercle –
et même d'autres habitants de Guernesey –, découvrant l'histoire de
l'île, les goûts (littéraires et autres) de chacun, l'impact de
l'Occupation allemande sur leurs vies... Jusqu'au jour où elle comprend
qu'elle tient avec le Cercle le sujet de son prochain roman. Alors elle
répond à l'invitation chaleureuse de ses nouveaux amis et se rend à
Guernesey. Ce qu'elle va trouver là-bas changera sa vie à jamais."

Avis d'autres lecteurs, que je ne peux qu'approuver :

* C'est par le biais de la lettre d'un inconnu que Juliet, jeune écrivain
anglaise, découvre l'existence d'un cercle littéraire et de ses membres
attachants et excentriques. La correspondance assidue qui s'en suivra la
conduira jusqu'à Guernesey..
Un roman épistolaire qui se déguste comme une patisserie anglaise...
* Vous voulez passer un véritable bon moment? Voila le livre qu'il vous
faut! Un roman épistolaire plein d'anecdotes touchantes, émouvantes,
mais aussi drôles et mélancoliques. J'adore !
* Sur fond d'après guerre, entre Londres et Guernesey, et aux travers
d'échanges épistolaires, le lecteur découvre ce mystérieux cercle
littéraire et ses adeptes.
L'auteur mêle ici de manière savoureuse histoire, humour et romance,
trois ingrédients essentiels qui font de ce livre un vrai bonheur.



Moi personnellement, j'ai déjà beaucoup aimé la manière dont le livre est écrit (des échanges de lettres),
et l'histoire est prenante, drôle quand il faut être drôle, dure quand elle doit être dure, triste et mélancolique si besoin, pleine de bonheur quand on ne s'y attend pas.
Une belle histoire, agréable à la lire, on s'y plonge, on imagine la vie de ces gens qui renaissent...

MéLie-MéLo a écrit:

Je me demande comment cet ouvrage est arrivé à Guernesey ? .

Je me demande comment cet ouvrage est arrivé à SJ ?

Hihih bien vu Agnès !
(Mais si tu veux vraiment savoir, c'est par ma tante ! LOL)

Je remonte ce topic pour vous parler de 2 livres que j'ai beaucoup aimés. Le premier n'est pas de la très grande littérature mais il est très agréable à lire, plein d'humour et de tendresse :



La chance ne sourit pas à Fatima.
Dans son île de Djerba, elle est la femme la plus mal lotie : son mari l'a répudiée par correspondance et laissée sans enfants.
Quand meurt sa soeur, qui travaillait chez la comtesse Merveil du Roc, elle quitte son village natal pour prendre sa place. Les cieux seront-ils plus cléments à Paris, dans ce XVIe arrondissement où l'on croise Hadley Hadley III, truculent écrivain en herbe, les Denis-Rabotin, famille Figaro par excellence, Hippolyte Suget, petit rat de l'Opéra devenu cambrioleur, Victorine, chaleureuse domestique sénégalaise ? Les tribulations de Fatima se mêlent à celle de cette clique haute en couleur.
Pour son plus grand bonheur, et le nôtre.

Les auteurs : Joanne et Gerry Dryanski sont des scénaristes américains qui vivent à Paris depuis plus de 20 ans.

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Le deuxième c'est :



J'avais beaucoup aimé ses premiers livres, adoré "Ensemble c'est tout", mais pas aimé du tout "La consolante" et là je retrouve le plaisir de lire sa belle écriture légère et drôle.

Simon, Garance et Lola, trois frère et soeurs devenus grands (vieux ?), s'enfuient d'un mariage de famille qui s'annonce particulièrement éprouvant pour aller rejoindre Vincent, le petit dernier, devenu guide saisonnier d'un château perdu au fin fond de la campagne tourangelle.
Oubliant pour quelques heures marmaille, conjoint, divorce, soucis et mondanités, ils vont s'offrir une dernière vraie belle journée d'enfance volée à leur vie d'adultes.

Oh là là, depuis que je ne travaille plus, je ne trouve plus le temps de lire, c'est affreux.

Ah je ne savais pas qu'il y avait un nouveau d'Anna Gavalda, le speech m'intéresse bien en tout cas .
J'ai adoré "Ensemble, c'est tout", bien aimé "Je l'aimais" si je me souviens bien, pas trop aimé "Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part" enfin ça dépend quelles nouvelles, et pas lu "La consolante".
Merci Kiki pour tes impressions.

Dernièrement j'ai lu un de Guillaume Musso, je voulais me faire une opinion, j'ai acheté donc "Parce que je t'aime" et j'ai bien aimé, je ne m'attendais pas à la fin, des fois on se doute à l'avance et là moi non pas trop.

Et aussi "La valse lente des tortues" de Katherine Pancol (la suite des "Yeux jaunes des crocodiles"), pareil je ne m'attendais pas à certains trucs. J'avais imaginé un scénario et ce n'était pas du tout ça, on est bien tenu en haleine. L'amie qui me l'a prêté m'a dit qu'elle avait déjà la suite et qu'elle me la passerait, j'ai hâte. Ces temps-ci je retrouver le goût de lire en me couchant, c'est bien agréable. Plutôt que ne faire que de l'ordi ^^ !

Moi je suis très portée sur les polars en ce moment. J'ai fini hier Noir comme le souvenir de Carlene Thompson, qu'on compare beaucoup à Mary Higgins Clark, et effectivement je dirais que ce sont les mêmes qualités et défauts : beaucoup de suspens, mais l'histoire elle-même et les multiples rebondissements sont un tout petit peu tirés par les cheveux ! A lire de temps en temps, mais je pense que je m'en lasserais vite à la longue.



Puis je suis passée à Voltaire : Micromegas, un conte très court, à la fois fantastique et science-fiction poétique (les deux protagonistes, un Syrien et un Saturnien, se déplacent dans le cosmos en voyageant sur la queue d'une comète !), et bien sûr philosophique, surtout quand ils arrivent sur Terre et discutent avec un groupe de philosophes et savants terriens qu'ils perçoivent comme des insectes doués d'intelligence. Sympa, moins lourd que je m'y attendais (c'était la première fois que je lisais du Voltaire ) !


Et j'enchaîne sur un autre polar : La photo de Lime, d'un auteur danois (je me spécialise dans les auteurs du Nord en ce moment) : Leif Davidsen. Pour le moment je sais juste que le "héros" est un paparazzo et qu'il va arriver des bricoles à sa famille, et qu'une photo va être au centre de l'intrigue. Je vous tiens au courant !


Dans le genre "auteur du Nord", j'ai découvert récemment Jo Nesbo, auteur de polars norvégien, qui écrit une série avec un personnage principal récurrent : Harry Hole. Pas tendres, ses histoires, mais vraiment prenant ! Je n'ai lu que Le bonhomme de neige, le dernier paru en poche, je pense que je vais commencer la série au début, bien que les histoires soient indépendantes il y a beaucoup d'allusions au passé (tumultueux) de Hole, en lisant les romans dans le désordre il y a trop de détails qui nous échappent...

Et dans un registre beaucoup plus soft, j'ai lu il y a quelques jours Mon chien Stupide de Joe Fante, ou comment l'intrusion d'un gros chien dans une famille déjà peu harmonieuse fout une belle pagaille !

Personnellement je ne me renouvelle pas beaucoup, quand j'aime un auteur je lis tout ce qu'il écrit mais j'ai du mal à en lire de nouveaux...
Bref, je viens de finir le dernier Harlan Coben "sans laisser d'adresse", que j'ai dévoré comme d'habitude. Et là je viens de commencer le dernier Guillaume Musso "la fille de papier". Ca se lit facilement, c'est sympa, toujours le même style, mais j'aime bien.

barnabette a écrit:

Bref, je viens de finir le dernier Harlan Coben "sans laisser d'adresse", que j'ai dévoré comme d'habitude.

J'ai envie de m'acheter un roman en anglais pour me préparer agréablement à mon examen d'anglais, et j'ai pensé à celui-là ("Long lost" en anglais, et il est en poche). Il est aussi bien que les autres Myron Bolitar ? J'hésite un peu, avec cette histoire qui me semble un peu trop internationales, avec terrorisme, etc... Ca ne ressemble pas aux autres romans de la série !

Alors franchement tu peux y aller sans autre, il est aussi bien que les anciens à mon goût. Quand tu commences, impossible de t'arrêter... Et toujours cet humour que j'adore ! Le problème des Harlan Coben c'est que ça finit trop vite

barnabette a écrit:

Le problème des Harlan Coben c'est que ça finit trop vite

Alors là, je suis tout à fait d'accord avec toi ... je suis en train de lire "Sans un mot", mon problème à moi, c'est que je n'ai pas assez de temps pour lire

Ben ça tombe bien, comme au boulot on a perdu Internet peu de temps après que j'ai posté la question (on ne rigole pas...), je n'ai pas pu lire la réponse avant de passer à la Fnac mais j'ai acheté le livre quand même ! En plus en anglais il durera plus longtemps (quel sens des affaires ébouriffant ) !

Ce livre m’a laissé une sensation troublante …
Je précise tout de suite, que dans la famille Dutronc, c’est le fils que je préfère.
400 pages, bien écrit, il n’y a rien à dire là-dessus. Mais comment peut-on livrer sa vie ainsi ? Peut-on parler de son enfance (pas très heureuse), de son adolescence (pas très heureuse), de sa vie de femme (pas très heureuse), de sa vie de mère (comblée), de sa vie vieillissante (plus calme)…et tout étaler ainsi ?

Je ne suis rien qui me permette de critiquer ce livre et mon avis n’intéressera peut-être personne mais tous les détails intimes révélés par FH, sa vie chaotique avec un mari volage, ses sorties nocturnes, ses aventures, son quotidien décousu ne m’ont pas fait aimer plus cette famille atypique.

Au travers du livre, j’ai imaginé FH comme une femme compliquée, supérieure, exigeante, insatisfaite, souhaitant avant tout le calme alors qu’elle s’est souvent trouvée sur le devant de la scène. J’ai mieux compris son attitude fuyante lors des derniers enregistrements où je l’ai vue.
Le plus grand malheur de sa vie, pour moi, est d’avoir rencontré Jacques Dutronc, une chimère trop absente du quotidien, alors qu’une vie posée lui aurait mieux convenu.
La seule exception dans une vie somme toutes assez noire : Thomas. Je ne sais pas, du reste, comment ce jeune homme, notoirement bien élevé et vraisemblablement très équilibré a pu s’en sortir ainsi entre la vie dissolue de ses parents et de leurs amis tout aussi déjantés.

Si quelqu’un d’autre a lu le livre, j’aimerais connaître son avis !

Un passage que j'ai bien aimé, lorsqu'il s'agit de l'avenir de Thomas, brillant élève (bac à 16 ans, avec mention), que FH voulait voir faire des études supérieures en mathématiques (je sais c'est un peu de travers ...) :

Je n'ai pas lu du tout le livre, mais je trouve que le passage que tu as mis est un peu "lourd" à lire. Chapeau si tout le livre est écrit dans ce style là, il fallait en vouloir pour aller jusqu'au bout...

Oui le style est le même de bout en bout, "ampoulé", plein de circonvolutions, compliqué, à l'image de FH, je pense ! J'ai eu du mal au début.

J'ai bien aimé ce Marc lévy ... même s'il n'est pas celui que j'ai préféré! Au moins ça dédend au bord de la mer =)

C'est vrai que tu n'as pas besoin de trop réfléchir en lisant ça !

Moi je commence tout juste "Le voleur d'ombre", mais c'est trop tôt pour donner un avis ^^

Je suis en pleine lecture des "Mystères de Paris" d'Eugène Sue. J'avais envie de les lire depuis toute gosse, en partie grâce à un sketch qui faisait allusion à l'auteur ("Le télégramme" avec Yves Montand et Simone Signoret), et aussi en raison du mot "mystère", bien sûr En même temps je craignais d'être déçue : un roman-feuilleton du XIXe siècle lu à notre époque, ça pourrait être plus risible qu'autre chose... Eh bien pas du tout ! Je comprends le succès de ce roman, et je n'ose même pas imaginer à quel point ça a dû impressionner les lecteurs de l'époque, quand je vois qu'à la mienne je tourne les pages fébrilement, et j'en oublie de manger quand je lis pendant un repas ! Et en même temps c'est intéressant de le lire avec le recul de notre époque, parce que ça a quand même beaucoup vieilli, forcément, et que certaines règles morales semblent bien désuètes aujourd'hui (voire craignos, dans certains cas). Les ficelles sont parfois très grosses, mais c'est parce qu'elles ont été tellement récupérées par la suite qu'elles sont devenues de gros clichés.

Bref, je prends beaucoup de plaisir pour le moment. Je pensais lire des bouquins plus modernes parallèlement pour ne pas me lasser (la bestiole fait quand même 1300 pages !), mais au bout de 200 pages je n'en ressens pas le besoin.

Ahhhh... tu me tentes avec ton bouquin... sent que je v aller voir ça de plus près... tous mes livres sont encore sous cartons... mon projet dans mon nouvel appart : me faire une super bibliothèque !!

C'est en collection Bouquins, chez Laffont, et on ne le trouve pas hyper facilement. Malheureusement il n'est pas en poche. C'est la seule chose qui m'énerve d'ailleurs : outre le prix, j'aime bien pouvoir trimballer mon bouquin partout où je vais, et ne pas me faire des crampes aux bras à chaque lecture ! Avec ce pavé c'est pô facile

J'aimerais vous inciter à lire la belle découverte que j'ai faite cet été. Il s'agit de :

Citation :

Synopsis :

Moon a choisi la rue parce qu'elle a décidé d'être " elle-même dans ce monde où les gens sont devenus des autres ". Elle ne fait pas la manche, elle vend des sourires, et observe avec malice le manège des gens pressés. " Je dis : Avec cinquante centimes d'euros, qu'est-ce qu'on achète à notre époque ? J'insiste, il accélère, petite pirouette : Non sans déc', à ce prix, franchement, tu trouves des trucs intéressants à acheter ? Le type finit par s'arrêter, il se demande où je veux en venir, et c'est là que je sors le grand jeu, tutti et compagnie, je dis : Un sourire à ce prix-là, c'est pas cher payé ! Et j'attends pas qu'il accepte, je lui refourgue un petit sourire façon majorette à dentelles, épaules en arrière et tête haute. Le type soupire, il pense qu'il se fait avoir. Il n'a que dix centimes mais je lui fais quand même le sourire en entier. Je suis pas une radine. " Autour d'elle, il y a Michou et Suzie avec leur Caddie, Boule, son crâne rasé et sa boule de billard à dégainer en cas de baston, les kepons migrateurs avec leurs crêtes de toutes les couleurs, et surtout, il y a Fidji et ses projets sur Paname. Pour lui, elle a décidé d'écrire un roman, un vrai. Et il y a Slam qui sort de prison, Slam qui aime les mots de Moon et a une certitude : un jour, elle décrochera la lune...

La jeune auteure a un parcours atypique. En plus d'être écrivain, elle est musicienne et metteur en scène et a bourlingué à travers le monde en faisant de très belles rencontres... "D'où je suis je vois la lune est son 3ème roman", les deux premiers étant "Dis oui Ninon" et "J'ai quinze ans et je ne l'ai jamais fait".

Pour en savoir un peu plus vous pouvez visiter son blog.

Citation :

Et pour terminer je vous mets un passage que j'aime beaucoup :

"Je commence à utiliser des mots nouveaux, comme celui-là justement, "indésirable", ou "inévitablement", ou des mots plus sympas qu'on dit pas en vrai. En fait, j'avais jamais pensé qu'un mot ça fait plein de trucs en même temps. D'abord, ça dit quelque chose, ça explique une hypothèse, mais en plus ça fait un son, ou deux, ou trois, et des fois quand tu le mets à côté d'un autre, ça fait comme une chanson, c'est ce que j'appelle les mots amoureux, tu les mets côte à côte et ils s'additionnent pour donner de la beauté à celui d'à côté ou simplement du sens, ils donnent de l'existence à leur conjoint. Mais c'est comme tout, t'as aussi les égoïstes, ceux qui prennent toute la place, qui se la pètent. Ceux-là, laisse tomber, ils sont beaux mais ils servent à rien, ils disent rien de profond, ils font leurs intéressants pour que t'oublie les autres. T'as aussi les arnaqueurs, ceux qui font croire qu'ils sont nécessaires, super indispensables et à la fin tu t'aperçois qu'ils gâchent tout, c'est des lourdingues. Et puis, t'as des mots tout cons tout simples, t'en mets plein les uns après les autres, ils sont pas spécialement beaux; ils disent pas spécialement quelque chose, mais tous ensemble, mis bout à bout, ces petits trucs de rien, ils te font chialer tellement ils te font du bien. C'est ceux-là mes préférés, les mots de rien, les pions de la vie, les petits fous."

Vraiment très sympa ce passage et un sujet très intéressant qui sort de l'ordinaire .

Moi cet été j'ai découvert les romans d'Eric Emmanuel Schmidt, j'ai adoré son dernier livre "Concerto à la mémoire d'un ange", ainsi que "La réveuse d'Ostende" et "Odette Toulemonde".
J'aime tout particulièrement son style, fait de beaucoup de nouvelles courtes, avec phrases courtes, et un vocabulaire simple