Articles sur les concerts 2012

Il n'y aurait pas une grosse pointe de JALOUSIE dans ce dernier article????!!!!!!!

Effectivement, les 2 articles sont à l'opposé l'un de l'autre... mais bon, les goûts et les couleurs... j'ai effectivement entendu des personnes "déçues" à Rennes... le côté un peu plus posé qu'il y a 3 ans en a étonné quelques uns... moi, perso, ça m'a pas posé de problème

En même temps on ne peut pas lui demander de faire une crise cardiaque avant ses 50 ans pour nous divertir plus ! En 2009 je trouvais délirant qu'il se dépense autant physiquement sur scène, quand je comparais à ma propre forme physique (alors qu'il a presque mon âge), si à 42 ans il se ménage un minimum il n'a peut-être pas tort ? Il s'est peut-être blessé en 2009, aussi ?

J'avais lu un article incroyable sur Cali qui énumérait ses blessures pendant sa dernière tournée, c'était délirant : côtes cassées, ligaments arrachés, foulures, etc. On aurait dit le "palmarès" d'un boxeur plutôt qu'un chanteur !

Je suis d'accord avec toi Laurence ! Il a peut-être aussi besoin de se poser un peu ! Et puis, depuis 2009, il s'est passé des choses. Il est peut-être plus fatigué (il a 2 enfants maintenant ! ).
Ah oui, j'avais pas vu ça pour Cali ! c'est impressionnant !

http://bruno-et-co.blogspot.com/2012/03/benabar-rennes-08-mars-2012.html

sur le concert de jeudi à Rennes

Encore une belle critique du concert , en l’occurrence celui de Lille :



[Concert] Bénabar – Les Bénéfices du Doute

Alors que Bénabar sortait son album, Les Bénéfices du Doute, le 5 décembre 2011 en France, l’équipe de Cenoctet.com vous a proposé au mois de janvier la critique de ce nouvel album, plutôt bien reçu par le public, moins par les critiques, et encore moins bien par les fans du quadragénaire. Si vous voulez vous rafraîchir la mémoire, n’hésitez pas à retourner lire la critique de "Les Bénéfices du Doute".

Mais samedi soir avait lieu au Zénith de Lille le concert de ce chanteur connu.

Comme il est de coutume chez de nombreux artistes, Bénabar présenta en première partie un groupe que nous ne connaissions pas, Archimède. Un groupe de variété française, aux sonorités qui rappellent Téléphone. Et ce n’est sûrement pas un hasard si le groupe, qui interpréta en majeure partie ses chansons (en reprenant le thème des râteaux, comme Bénabar tiens ..) reprit L’Hygiaphone, de Téléphone. Archimède a réussi en 25 minutes à mettre un Zénith presque complet en haleine. Bravo à eux.

C’est à 21 h que l’artiste entra sur scène sobre, avec un rideau blanc recouvrant l’arrière de scène, un piano, une batterie une guitare et une basse. Le chanteur entre sur scène après une petite introduction des musiciens, elle aussi plutôt sobre. Vêtu d’un pantalon violet et d’un veston noir sous une veste noire, Bénabar nous prépare à une ambiance plutôt intimiste, à la façon de son dernier album. Mais c’est sur la deuxième chanson que le spectacle prend son envol. Le rideau blanc levé, une arrière scène comprenant deux choristes, un trombone, une trompette, un saxophone, une deuxième guitare et des décors époustouflants (je n’en dirai pas plus pour garder la surprise) vous transportent dans le rêve.

On sent que Bénabar (Bruno de son vrai prénom) aime la scène, son public, et se donne à fond en retour. Un bien bel artiste à voir en famille, ne serait-ce que pour le spectacle, où les jeux de lumière ne font que vous transporter dans le rêve. Tout en gardant une certaine proximité avec son public et une bonne grosse dose d’humour entre les morceaux, le chanteur réussit un show qui donne envie de réécouter ses albums.

Interprétant bien sûr certains morceaux de son dernier album, Les Bénéfices du Doute, Bénabar fait plaisir à ses fans en rejouant ses plus grands succès, tel que Le Dîner, L’Effet Papillon ou encore une version très rock de Y’a Une fille qui Habite chez Moi.

En clair, n’hésitez pas à vous rendre à ce concert, qui est une grosse claque visuelle et musicale. Les fans y trouveront un chanteur passionné et passionnant, cependant, ceux qui n’éprouvent pas de grand intérêt pour l’artiste se lasseront à certains moments, mais il saura toujours ramener son public en haleine en proposant des morceaux a cappella avec ses 10 comparses. Merci Bruno pour ce concert magnifique.

J'ai hâte de prendre ma claque visuelle et musicale !

ca va venir vite agnès !

Agnès a écrit:

J'ai hâte de prendre ma claque visuelle et musicale !

Tu m'étonnes !!!
L'étau se resserre, c'est pour bientôt !!!

Concert de Bénabar au Liberté : un doute partagé... - Rennes
samedi 10 mars 2012

Dans le cadre de sa tournée intitulée, comme son dernier opus, Les Bénéfices du doute, Bénabar a fait une halte jeudi soir au Liberté.

Beaucoup de monde dans la grande salle, pas totalement remplie cependant. En première partie, ont officié les frères Boisnard alias Archimède. Ils ont présenté une réjouissante pop-rock « à la française », leurs chansons apparaissant comme des bonbons légèrement acidulés...

Après cette agréable mise en bouche, Bénabar est entré, accompagné d'une conséquente bande de musiciens, composée de ses fidèles acolytes mais aussi de nouveaux arrivants, dont deux choristes.

Le chanteur a présenté un show énergique et joyeux, puisant la matière nécessaire, au gré de son répertoire avec humour, générosité et sincérité. Toutefois, ce concert n'a pas toujours trouvé « son » public. En effet, il est rapidement apparu que les spectateurs manifestaient une préférence nette pour un climat intimiste et à l'écoute des chansons calmes et émouvantes, « anciennes » le plus souvent, telles que la triste et lucide Je suis de celles.

Les moments festifs ont drainé nettement moins d'enthousiasme, malgré les invitations réitérées du chanteur. Idem pour les chansons du récent album, moins bien écrites dans l'ensemble que les précédentes. À se demander, si l'artiste n'a pas voulu masquer les faiblesses de ce dernier par un concert un peu trop clinquant. Dommage, car les instants intimistes et acoustiques lui vont bien...


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Bénabar reçoit des lecteurs d'Ouest-France dans sa loge (Le Mans)

Invités par Ouest-France au concert de Bénabar, vendredi soir à Antarès, au Mans, Stéphane et Alexandra Jocelin ont également eu le privilège de rencontrer l'artiste quelques heures avant son tour de chant. Après avoir assisté quelques minutes aux répétitions, le couple, originaire de Noyen-sur-Sarthe, a été reçu dans la loge de l'artiste durant une demi-heure.

«Une ambiance de colonie de vacances»

En toute décontraction, l'auteur du Diner et Politiquement correct s'est prêté au jeu des questions-réponses avec ses convives. « Nous démarrons la tournée des grandes salles. Il y a encore des petits détails à régler, mais il règne déjà une ambiance de colonie de vacances dans le groupe », leur a-t-il confié avant d'évoquer, entre autres, son retour à la chanson après une parenthèse au théâtre, l'enregistrement de son dernier album (Les bénéfices du doute), son projet avec Michel Delpech, le dernier spectacle des Enfoirés...

« Il est simple, généreux et a su nous mettre à l'aise », confiait Alexandra à l'issue de cette rencontre chaleureuse qu'elle gardera longtemps en mémoire.

Article accompagné d'une vidéo d'1' à voir ICI

Bizarre l'article sur le concert de Rennes... ce n'est pas du tout ce que j'ai ressenti...

Oui ! Je me suis dit qu'on avait pas dû voir le même concert ...

J'ai remarqué que les journalistes rennais n'appréciaient pas beaucoup Bruno : soit ils n'en parlent pas (il n'y a eu aucun article pré-concert), soit ils sont négatifs sur le concert.

Le plus important c'est l'avais du public

PS : petite anecdote. J'avais une amie qui était au concert d'Izia à l'Etage (salle au-dessus de celle où se produisait Bruno). Elle n'a pas du tout aimé donc elle est sortie et est restée dehors à attendre son mari. Elle a donc entendu à peu près 1/2 h du concert de Bruno. Samedi soir, elle me disait qu'elle regrettait vraiment de ne pas être venue avec moi parce que vu ce qu'elle entendait, ça semblait super et pourtant elle ne l'a jamais apprécié...

Oui, l'important c'est l'avis du public ! C'est aussi pour ça que je ne comprends pas trop le journaliste quand il dit que le public ne suivait pas trop...
Ah bon, il y avait un autre concert ? Je savais même pas ! C'est dommage pour elle du coup !

Courte présentation du concert à Forest National, l'intro est tellement juste !



Bénabar: Un mec comme nous à Forest National
mosquito13/03/2012 08h39, L.L.



Il se fait brocarder par une presse musicale élitiste mais il y a une chose qu'on ne pourra pas lui enlever. Son respect du public et cette volonté, jamais démentie, de transformer ses concerts en grandes fêtes populaires.

Petit, il rêvait de devenir clown et d'apprendre à jouer de la trompette. Il n'est pas tombé très loin. Il sait manier l'humour, possède le sens de la mélodie, de la dérision et aussi celui de l'observation. Comme ses modèles Renaud ou Cabrel, c'est le quotidien qui inspire Bénabar et qui donne la matière aux chansons de son dernier album "Les bénéfices du doute".

"Ce sont des chansons de pure réaction,expliquait-il lors d'une rencontre avec nos lecteurs en décembre dernier. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, il n'y a aucun message, seulement des observations et des réflexions à chaud. Ne cherchez pas ailleurs. Je ne suis qu'un chanteur qui chante, je ne me prends pas au sérieux."

Bénabar

L’"infréquentable" Bénabar présentera "Les bénéfices du doute" sur la scène de Forest National ce 20 mars.

Après avoir brillé au cinéma dans “Incognito” aux côtés de son ami Jocelyn Quivrin (décédé il y a plus de deux ans, NdlR) et de Franck Dubosc, s’être surpassé au théâtre dans “Quelqu’un comme vous”, mis en scène par Isabelle Nanty, Bruno Nicolini alias Bénabar revient à la chanson avec son sixième album “Les bénéfices du doute”. S’il avait des réticences face à une vie de couple à ses débuts (“Y a une fille qu’habite chez moi”, “Le dîner”), aujourd’hui, Bénabar fait le constat de sa vie de quadra (“Alors c’est ma vie”). A 42 ans, il nous offre un album plus assumé, aux textes moins acides et plus engagés. L’homme à la plume si poétique n’en oublie pas pour autant son humour pince-sans-rire.

Sur ce nouvel album, on sent beaucoup plus de mélancolie…
Peut-être… J’ai toujours des difficultés à analyser mes albums. Depuis peu, je commence à avoir un regard un peu objectif sur ce que je fais. Chacun a sa propre perception finalement mais je n’ai pas grand-chose à dire sur la façon dont j’essaie d’écrire mes chansons. Je les écris par rapport à ce que j’ai envie de raconter, de ce qui me tient à cœur. Je fais des chansons qui me plaisent et le public en dispose.

C’était important de démarrer le disque avec un titre comme “Politiquement correct” ?
C’est une chanson où le texte est très premier degré. Ça vise les petits snobinards qui prennent un peu la parole pour dire qu’il ne faut pas être raciste ou misogyne. A force de les voir à la TV faire un discours en sortant des phrases très politiquement correctes alors qu’ils ne les pensent pas, j’ai eu envie d’écrire un texte là-dessus. Après coup, je me suis demandé si c’était vraiment une bonne idée cette chanson. Puis elle a tellement dérangé cette chanson qu’avec le recul, je me dis que ce n’est pas si mal en fait. C’est une bonne chose que cette chanson soit là pour démarrer l’album.

Le titre “Les Râteaux”, c’est autobiographique ?
Pas entièrement. Je ne me suis pas pris autant de râteaux ! Pas encore du moins… Mais oui, il y a quelques râteaux autobiographiques dans cette chanson. Je m’en suis pris quelques-uns… comme la plupart des hommes !

Puis il y a “Les Mirabelles” écrite pour Jocelyn Quivrin…
Souvent, on hésite à écrire ce genre de chanson par rapport au marketing, à comment ça pourrait être perçu. Cette chanson est venue et je voulais la mettre sur le disque. Ca avait du sens et, puis, c’est un bel hommage…

“Les risques du métier”, “Infréquentable”, “Reprises des négociations”,…
Vos titres d’albums sonnent comme des films !
Oui, c’est vrai. Je travaille beaucoup sur les titres d’albums. Je trouvais ça pas mal d’avoir un titre indépendant des chansons, qui ressort et qui donne envie d’entrer dans mon travail, dans ma vie.

Dans le livret de l’album, il n’y a pas de remerciements ?
Depuis plusieurs albums, j’avais besoin de remercier les gens en personne. Ce n’est pas de l’ingratitude. Je ne voulais surtout pas être démago. Puis le faire par écrit dans un livret, c’est un peu expédier les remerciements !

Acteur, comédien, chanteur, scénariste… Qu’est-ce qu’il vous manque ?
Rien. Si ce n’est essayer de poursuivre ses activités-là du mieux possible. J’ai besoin de raconter des histoires, de participer à des projets, d’écrire des chansons qui vaillent le coup d’être entendues. Ce qui est important, c’est de faire des choses intéressantes.

Quels souvenirs avez-vous de Bruxelles ?
J’ai de très bons souvenirs à Bruxelles ! J’avais un appartement à Saint-Josse. J’y étais pas tout le temps car je faisais pas mal d’allers-retours avec Paris. Saint-Josse, c’était vraiment mon jardin secret.

2 articles de blog bien sympas ICI etLA

OUEST-FRANCE CAEN

On a vu. Bénabar en concert au Zénith de Caen
Musique jeudi 15 mars 2012

Plein d’énergie et d’humour, le chanteur a repris quelques chansons de son dernier album, Les bénéfices du doute, telles que Politiquement correct ou Les Râteaux. Mais aussi ses anciens grands succès comme L’adolescente ou Quatre murs et un toit. Accompagné de guitares, de banjos, d’un piano bastringue, d’un harmonica et de ses deux choristes clownesques, chaque chanson est un vrai show.

Et Bénabar innove, il fait un clin d’œil à la crise en reprenant une de ses chansons, accompagné d’instruments originaux : un bidon en plastique vide, une canette ou un tonneau en ferraille. Le public, de tous âges, était ravi.

Bénabar, forte tête, de plus en plus à l’aise hors des sentiers battus, aujourd’hui plus libre et plus indépendant que jamais, assume pleinement ses envies et ses audaces. Il y a en Bénabar des traits de caractère, qualités et talents qui font écho au plus grand nombre.

Pourtant, l’âge aidant, il se révèle être un artiste bien plus complexe qu’il n’y paraît. Certes, sous le masque de Bénabar, on trouve un auteur, un acteur et un comédien, respectueux de ses rôles comme de son public. Évidemment, on trouve aussi le chanteur, amoureux des mots et des gens.

Ah ben ça c'est pas mal !



Le public de Bénabar mécontent d'être debout

Une partie du public de Bénabar, vendredi dernier au Zénith (NDLR : Orléans), n'a pas apprécié de rester debout dans la fosse. Selon des mécontents, il n'y avait pas assez de places assises en placement libre alors que les fans du chanteur n'ont pas vingt ans, loin de là. Mais les artistes, comme Bénabar, aiment qu'il y ait du monde devant, pour l'ambiance !

(Il y aura une suite à cet article demain dans le journal papier)

Effectivement, c'est étrange comme réclamation ! ^^

gné ? bizarre ça !

Voilà l'article entier :

Enfin bon, les places assises numérotées ne sont pas non plus hors de prix... ceux qui veulent vraiment être assis n'ont qu'à prendre des places assises... Et pour la personne handicapée, je comprends pas si elle a pris une place assis/debout ! C'est toujours stipulé que les places assises ne sont pas garanties... je trouve la critique un peu bizarre quand même ! (et perso, si j'étais enceinte de 6 mois, je prendrai une place assise directement...)

Ce mardi 20 mars, Bénabar se produisait à Forest National. Voici quelques photos du show.

Chouette moment avec des musiciens qui ne se prennent pas au sérieux mais qui jouent diablement bien. Chacun fait son petit solo à un moment ou un autre du concert.

Bénabar fait beaucoup de dérision, c'était une chouette découverte. Visuel très travaillé au niveau des lumières, il n'y avait pas des tonnes de projecteurs, mais des projecteurs intelligemment disposés.