Articles sur les concerts 2012

Je me demande si le journaliste a assisté vraiment au concert, il cite "La phrase qu'on n'a pas dite" et il me semblait qu'elle ne faisait pas partie de la set-list

Sauf, qu'à priori il y avait des petits changements entre Nancy et Bâle ... peut être qu'il y en a eu d'autres pour Strasbourg ...
merci pour l'article !!

En 2009 aussi, il a légèrement changé la set-list pour chacun des premiers concerts, je suppose que c'est une façon de tester l'équilibre des chansons entre elles !

Un joli article paru sur "lebourlingueurdunet" :

Bénabar, le magicien des mots
Posted by Rédacteur on février 25, 2012



C’est dans le Club de la Rockhal à Esch-Sur-Alzette que le chanteur français posait ses valises samedi dernier pour un concert époustouflant. Cet évènement affichait déjà complet depuis longtemps tant les fans étaient nombreux à avoir fait le déplacement depuis la France ou la Belgique pour admirer le poète aux textes satyriques et décalés.

Dès le début, le ton et le rythme sont donnés avec des morceaux débordants d’énergie et un Bénabar courant, sautillant et entraînant un public déjà plus que conquit.

Notez que s’il est connu pour ses textes, le chanteur sait aussi bien s’entourer pour assurer un show de grande qualité.

Sur scène, il n’y a pas moins de huit musiciens et deux choristes qui, loin du rôle bien sage et en retrait qu’on leur donnent d’habitude sur scène, apportent ici quelques chose en plus au spectacle avec leur look rétro et un peps extraordinaire.

Coté chansons, ce fût un florilège de succès déjà bien rodés et de nouveautés vraiment très entraînantes comme «les râteaux» ou «politiquement correct»



On notera au passage une reprise de «L’Eté Indien» de Joe Dassin (instant que choisira le chanteur pour lancer aux hommes du public une petite remarque humoristique: «Voilà les gars, c’est le moment de conclure pour ceux qui espéraient ce soir»), ainsi qu’une autre référence à Elvis Presley sur le ton de la dérision au travers d’un «Love Me Tender» pas très tendre avec le King.

En résumé une soirée très réussie, haute en couleurs où l’on se laisse emmener par cet homme qui nous fait voir notre quotidien sous un oeil différent, car au fond (et c’est aussi ça la clé de son succès), on a tous un peu de Bénabar en nous.

Christophe Pauly

Bénabar , c’était jeudi au Grand Casino de Bâle



Un jeune homme de 40 ans , politiquement correct, conteur du quotidien et qui transmet sa joie de vivre à l’audience enchantée : Bruno Nicolini et ses musiciens , excellents et nombreux – trombone , trompette, contrebasse…- une bonne dizaine en comptant les choristes , le tout mené à un rythme échevelé , oscillant entre musique tzigane et big band mississipien en passant par quelques ballades , voire berceuses adouciçantes ; 2 heures de concert joyeuses et sautillantes. Bénabar , jeune père de deux enfants , a gardé son coeur d’adolescent et son âme d’artiste pour le plus grand plaisir de ses fans .

Heyyy, on voit Laurence et Nathalie !!!

Merci Kiki !!!

Clem a écrit:

Heyyy, on voit Laurence et Nathalie !!!

Et bien Clem tu as l'oeil dis donc

On y voit même mon ami le projecteur qui s'était tourné vers le public juste pour la photo

Merci pour tous ces articles !!! j'avais loupé le sujet

Par contre à Bâle, je vois Nathalie et "son" projecteur mais pas Laurence ...

Catherine a écrit:

Merci pour tous ces articles !!! j'avais loupé le sujet

Par contre à Bâle, je vois Nathalie et "son" projecteur mais pas Laurence ...

Juste à côté avec son tee-shirt bleu .... la personne derrière elle a ses mains au niveau de la tête de Laurence

J'aime beaucoup ce petit article de présentation paru sur

Bénabar revient au Zénith

C'est le genre à ouvrir sa grande gueule, au risque de se prendre des coups. Il s'en fout, il fonce dans le tas, sans jamais se départir de son sourire charmeur. Bénabar repart sur les routes dans la foulée de son nouveau disque, « Les Bénéfices du doute » (Jive Epic/Sony Music). Le premier extrait, « Politiquement correct » est idéal en ces temps de campagne électorale. Le chanteur y dit tout ce qu'il a sur le cœur et notamment qu'être raciste ou sexiste, c'est pas joli, joli. À l'écart du pamphlet, d'autres titres sont beaucoup plus doux, racontant le quotidien avec cet humour un brin moqueur qu'aime pratiquer Bénabar.

Et puis, même pour les non fans, un concert du zigue reste un grand moment. Le chanteur, toujours entouré d'excellents musiciens, véloces et joyeux, se dépense sans compter pour emballer les foules. Une vraie bombe !

Bressuire - dimanche
L'infréquentable Benabar
02/03/2012 05:30


Benabar, alias Bruno Nicolini, est un artiste de scène. C'est là qu'il donne le meilleur de lui-même. A Bressuire, il revisitera ses 10 ans de carrière, des premiers succès du Diner auquel il ne veut pas aller, à son dernier, Politiquement correct.

Je n'ai rien contre les mosquées, je ne me sens pas menacé par les minarets, je ne crois pas que les homos ne sont pas normaux ou forcément coquets, je suis une tapette, politiquement correcte. Et moi j'temmerde ! Avec sa dernière chanson Politiquement correcte, Bruno Nicolini alias Bénabar est en passe d'égratigner sa réputation de gendre idéal.

Ce clown moderne à l'énergie et l'humour débordants et communicatifs sur scène démarre sa carrière médiatique en 2001 avec son album Benabar. Des chansons sur ses amis, ses emmerdes, ses amours mettent tout le monde d'accord, la fille et la mère écoutent ensemble « Y a une fille qu'habite chez moi », le public et la critique l'encensent, Les Risques du Métier, remporte le prix du Meilleur album de chanson et variétés aux Victoires de la Musique 2004.
Benabar est un conteur, engagé ? Plutôt malgré lui à ses débuts. Conscient qu' « une chanson ne change pas les choses », il préfère rester loin des messages politiques. Un petit Manolo plus tard, la paternité semble l'avoir fait mûrir. Plus engagé mais pas pessimiste pour autant. Dans Les Bénéfices du doute, sorti en 2011, il tacle les racistes (il a d'ailleurs participé au concert de SOS racisme en 2011) les homophobes et implore plus de respect. Le papillon a mué, sans effet papillon on espère.

1.900 spectateurs pour Bénabar
04/03/2012 05:30

D 'être là, c'est notre victoire de la musique ! On est sûr de voir notre préféré ! Voilà quatre fois que Sophie et Pierre, de Monts, se déplacent pour Bénabar. Hier soir, au Vinci, ils ont initié leur fils, Lucas, 9 ans, devenu fan « à force de l'écouter dans la voiture ». A Tours, le public était ainsi familial, même pas plus féminin que masculin, âgé de la dizaine à la soixantaine…
Les 1.900 spectateurs n'ont pas boudé leur plaisir, chauffés par une première partie malicieuse d'un Charles-Baptiste « tout à fait dans la veine Bénabar », adepte des petites rancœurs du quotidien, assaisonnées d'humour et d'autodérision. Le jeune chanteur se moque de l'artiste « dont la presse dit qu'il tourne en rond » et « qui s'évertue à chanter les chansons du nouveau disque qui n'a pas marché ». La foule s'emballe, conteste. Une mise en bouche… Et c'est déjà la levée de rideau tant attendue. Une levée sur des musiciens dans un décor de paillettes, avec de discrets choristes. On le cherche parmi les plus petits gabarits. Perdu ! Le voilà qui surgit de derrière le rideau.

Moins inspiré, Bénabar, avec son nouvel album, « Les bénéfices du doute ? » En tout cas, toujours aussi énergique sur « Infréquentable », « Quelle histoire ! », « Politiquement correct ». Le public reprend, moins à l'aise peut-être avec certaines : cela ne devrait pas durer vu l'ardeur déployée pour suivre le chanteur. Et celui-ci de se faire proche avec une ancienne chanson, « L'histoire d'une ado aujourd'hui maman. » Clin d'œil au public : « Ceux qui se souviennent de ces téléphones fixes ont passé la trentaine ! Mais ceux qui ont enregistré " Dirty dancing " sur VHS, la quarantaine ! » Une pirouette et c'est reparti…

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Un public conquis et debout à la Maison de la Culture


Entre nouvelles chansons et vieux succès.

Huit musiciens, deux choristes et un Bénabar très remuant sur la scène de la Maison de la culture, ont conquis un public, venu tnombreux.

Du grand spectacle. De mémoire de technicien, on n'avait pas vu autant de matériel depuis des années sur la scène de la Maison de la Culture. Une mise en scène grandiose, servie par Bénabar et ses musiciens.

Bénabar, de retour à la chanson après ses expériences au cinéma et au théâtre, que le public neversois avait pu apprécier, a testé quelques chansons de son dernier album sur une salle, déjà tout acquise à sa prose. Il en fut ainsi de Politiquement correct, L'agneau ou Les râteaux. « Une nouvelle chanson, c'est comme la naissance d'un enfant. Des fois, il reste moche » a souri le chanteur. Heureusement, il peut aussi s'épanouir et plaire.

Toujours plein d'humour et d'énergie, ce raconteur d'histoires, qui joue avec la poésie du quotidien a ressorti ses plus grands succès pour une Maison de la culture qui criait son plaisir et ne parvenait pas à rester assise.

De l'ambiance cabaret survolté de Maritie et Gilbert Carpentier à la douce mélancolie de Je suis de celles, le malicieux, volontiers provocateur, prend toute sa mesure une fois sur scène. Remuant, bondissant, soutenu par des musiciens brillants et des choristes complices, Bénabar est un véritable homme de scène.

Guillaume Clerc

Le dernier article (le jcd.fr) est juste magnifique !

Oui Niveau enthousiasme, il pourrait avoir été écrit par une d'entre nous !

L'effet papillon survole Bocapole
06/03/2012 05:35


Bénabar a fédéré un large public.

Il est exceptionnel, on l'adore… c'est un mec vraiment généreux  ! Ces commentaires à chaud reflètent bien l'ambiance qui régnait dimanche à Bocapole, lors du concert donné par Bénabar devant un parterre multigénérationnel de 1.600 spectateurs, sous le charme. L'auteur-compositeur-interprète, fort de trois victoires de la Musique et à l'aube d'une tournée des « Zéniths », a su toucher le public en usant d'un savant mélange d'humour, de textes faisant souvent référence à la vie quotidienne et d'énergie musicale engendrée par huit musiciens et deux superbes choristes…

Après plus d'une heure et demi à parcourir son répertoire et les chansons de son dernier album (Les bénéfices du doute), le titre « Les épices du Souk du Caire » donna matière à un final grandiose en fanfare qui laissa entrevoir tout le chemin parcouru par ce touche-à-tout depuis ses débuts en clown Barnabé ! L'audience déjà ravie put quitter l'espace Europe comblée par un étonnant rappel a cappella à onze voix ! CB… Cool et Bon !

En 1re partie, Charles-Baptiste, pas peu fier d'être invité par Bénabar sur sa tournée, a réussi le tour de force d'enthousiasmer les jeunes et les moins jeunes, seul derrière son piano.

kiki a écrit:

Il est exceptionnel, on l'adore…

Tout est dit !

Kiki !!!

Live! Bénabar & Archimède au Liberté
Pauline /
le 9 mar, 2012 à 17 h 21 min

On entend beaucoup trop de choses sur Bénabar, et malheureusement, la plupart du temps, en mauvais termes. Nous avons donc profité de l’interview d’Archimède, en première partie (bientôt en ligne), pour voir notre cher Bruno à l’oeuvre. Il est 20h30, j’attend patiemment le début des festivités alors que des centaines de quadragénaires débarquent en masse dans l’immense salle qu’est le Liberté. J’ai l’impression d’avoir 15 ans.

Les deux frères Boisnard d’Archimède entrent sous les ovations du public. C’est en acoustique, avec un bassiste, qu’ils ouvriront la soirée : plutôt intimiste, ce qui enchante les connaisseurs. Ils entament leur set avec L’intru, premier titre issu de leur second album Trafalgar. Puis, ils enchainent parfaitement les morceaux, tout en faisant participer le public. L’incontournable L’été revient est bien de la partie, ainsi que la jolie reprise de Hygiaphone de Telephone. Ils concluent leur belle prestation par Le Bonheur que chacun ressasse à tue tête dans le public : « Rennes, vous êtes le meilleur public, et c’est pas pour fayoter ». Mais oui, c’est aussi pour ça que tu fais des petits clins d’oeil à notre photographe hein ! On ne t’en voudra pas Nicolas. Les voilà repartis, laissant la place à la tête d’affiche de la soirée.

Les quadras deviennent vraiment très impatients. Ca tombe bien, Bénabar entre sur scène. Vêtu d’un pantalon violet (moi même je n’y ai pas cru), il entame le spectacle, sautillant sous les ovations du public. Tout en remerciant après son premier titre, le rideau tombe : une double scène fait face, avec ses airs de cabaret aux lumières étincelantes, tandis que les dix musiciens apparaissent, les jolies choristes, les trompettistes, les guitaristes, le pianiste… Le show peut enfin commencer !

Notre chanteur de variet’ enchaine les titres de son dernier album, mais renoue aussi avec ses premiers amours, les titres de ses deux premiers albums, datant de plus de dix ans, dont Adolescente, À notre santé ou Y’a une fille qui habite chez moi, reprises en choeur par la foule… Je tombe des nues, surprise par l’énergie du showman. Tout au long du spectacle, il n’aura pas arrêté de plaisanter avec le public et ses musiciens, alors que les trompettistes se taquinent. Les quadras sourient « aaaah ils sont sympathiques quand même ! ». On continue le spectacle avec le fameux Politiquement correct : « Certains ne l’ont pas aimé, d’autres l’ont détesté, et la presse l’a unanimement haït ! » ce qui me fait sourire. On passe de la fanfare et des chorégraphies pour Les râteaux et Quatre murs et un toît aux moment intimistes et simplistes de chansons issues de l’époque Bénabar et ses associés à l’image de 115, que Bruno chantera sous un simple projecteur avec son accordéoniste qui le suit depuis plus de quinze ans.

On retiendra ses tubes, évidemment, je parle des titres Le Dîner et L’effet papillon, pour lesquels le public s’enflamme, mais qui pour moi sont bien loin des belles compositions qu’il a pu faire durant sa carrière comme Je suis de celles, qu’il jouera au piano en solo. On aura le droit à deux rappels par Les épices du souk du Caire, et une fin en beauté par le titre L’itinéraire issu des Risques du Métier, résumant l’histoire d’une amitié qui ne vaut rien au monde. Au final, une belle clôture sous les applaudissements unanimes pour une belle tournée entre bons amis qui ne fait que commencer.

Bénabar a l’expérience de la scène derrière lui, et ça se sent. Près de deux heures de spectacle préparé au millimètre près, parfaitement synchronisé sous une ambiance bon enfant, pleine de surprises et d’échanges avec le public. On sort du Liberté émerveillé, surpris et abasourdi par le chant des trompettes encore bourdonnant dans nos oreilles.

On sent que la journaliste est passionnée .... il est très beau cet article !!!

Il y a juste une petite erreur : Bruno ne joue pas "Je suis de celles" au piano en solo. C'est H. Koury qui l'accompagne.

oui, et aux dernières nouvelles, il n'y a qu'un seul trompettiste

très bel article en tout cas ! Et effectivement, c'est Hervé Koury qui joue au piano sur "je suis de celles"

Et pour en revenir à l'article précédent : dire qu'il y en a qui le voit en maillot de bain ! et puis après en pantalon moulant, c'est ouf !