Articles divers janvier - juin 2012

Bénabar a repris son costume de chanteur
vendredi 09 mars 2012


Après une parenthèse au théâtre en 2011, Bénabar a repris son costume de chanteur avec « Les Bénéfices du doute ».

Figure incontournable de la chanson française, l'artiste retrouve la scène DL;avec un sixième chapitre musical : Les Bénéfices du doute.

Entretien

Pour quelles raisons avez-vous délaissé les cuivres et les cordes dans votre nouvel opus ?

J'avais à coeur de ne pas reproduire la même chose. Avec Jean-Louis Piérot (réalisateur), on voulait des chansons assez musclées et n'ayant que la peau sur les os. On a pris soin d'éviter le superflu. Nous sommes allés au bout de notre idée en faisant un disque plus direct, sans fioritures.

Que vous a apporté votre passage au théâtre au côté de Jacques Weber l'an passé ?

Cette expérience m'a changé, mais il est encore trop tôt pour dire précisément à quel niveau. Le théâtre est plus cérébral et demande plus de discipline et de concentration. En concert, on est plus dans l'énergie. Et quand je me plante sur un couplet, les copains peuvent rattraper le coup. Ces deux univers sont proches, mais les sujets d'inquiétudes ne se trouvent pas au même endroit.

Dans quel état d'esprit abordez-vous la nouvelle tournée ?

Des sentiments se mélangent, entre le bonheur de renouer avec la scène et la peur de ne pas être à la hauteur. Mais l'envie de retrouver le public a pris le pas sur l'appréhension. Et toute l'équipe était très excitée à l'idée de reprendre la route.

Cela fait quinze ans que vous faites partie du paysage musical français...

Je m'en suis rendu compte quand il a fallu choisir les chansons de la tournée. Je ne suis plus un débutant, mais je ne me considère pas non plus comme quelqu'un d'« installé ». Je reste lucide, on peut dégager du jour au lendemain. À moi de proposer des chansons et des concerts dignes de ce nom pour que le public continue à me suivre.

Vendredi 9 mars, 20 h, salle Antarès, avec Bebop. Tarifs : 15 € à 48 €. Première partie : Archimède. Infos sur www.oasislemans.fr/

Merci Kiki pour ce bel article tout en sincérité !!!

(Tout un dossier sur Bénabar et ses habitudes à Saint-Mandé)

Je n'irai jamais au resto avec lui, tout compte fait ! Bon, il ne me le proposera sûrement jamais non plus !

Et dire que tous les matins, je passais dans le Bois de Vncennes... ben je l'ai jamais vu courir dans son pantalon moulant... (bon, c'est sur que je partais pas au boulot à 11h...)

Bénabar: "J'ai eu quelques râteaux mais c'était mérité"
Laura Cerrada
12/03/12 - 10h56 Bénabar

Je pense que le doute est important, c'est une hygiène mentale.

Bénabar sera en concert à Bruxelles, ce 20 mars. L'occasion pour le chanteur de revenir dans une ville qu'il aime et dans laquelle il a vécu quelque temps. Et de présenter au public de Forest National, les chansons de son nouvel album, "Les bénéfices du doute". Un album qui s'apparente à un livre de photos. Différents moments de vie y sont immortalisés: les râteaux amoureux, la mort d'un ami (Jocelyn Quivrin dans "Les mirabelles"), les regrets ("La phrase qu'on a pas dite")... Son précédent single reste en tête: "Tu trouves ça peut-être politiquement correct, mais moi je t'emmerde!" Rencontre avec un artiste qui ne mâche pas ses mots.

Votre sixième album s'intitule "Les bénéfices du doute"... De quoi doutez-vous constamment?
D'à peu près tout. . Je suis quelqu'un de plutôt anxieux. Mais j'essaie que le doute ne soit pas castrateur et écrasant. Je pense que le doute est important, c'est une hygiène mentale.

Banjo, harmonica... Vous avez intégré de nouveaux instruments dans le dernier CD.
J'avais envie d'avancer, de changer de sonorités. Sur scène, ça reste ce que ça a toujours été: festif. Sur l'album, on voulait évoluer. On avait peur de ronronner. On a introduit de nouvelle sonorités.

Vos chansons sont un peu des photographies d'instants de vie... S'imposer sur la scène musicale avec des chansons à histoire, était-ce une difficulté?
Je ne me considère pas comme installé. Tout reste à faire. Il est toujours difficile de s'imposer. Je pense que ça dépend essentiellement des chansons. C'est difficile à dire. J'essaie d'être sincère, de faire ça avec coeur. J'essaie de ne pas me poser de question. Je fais des choses qui me touchent.

Bruno en couverture du journal "METRO"

Merci Kiki pour cette retransmission de journal !

Clem peux-tu essayer de te procurer la suite de cet article

Benabar était à l'Acclameur. Mais les Niortais ne l'ont pas vu.
Niort. Bénabar : de maigres retombées

La salle de l'Acclameur qui n'est pas encore officiellement en service, a accueilli le chanteur Bénabar en résidence. L'objectif était de faire connaître ce nouvel équipement niortais, mais il semble que les retombées médiatiques soient bien maigres.

C'est dans le "Courrier de l'Ouest"

Merci

Merci pour l'article très sympa

Youpi il est à Orléans !
Merci Kiki !

kiki a écrit:

Clem peux-tu essayer de te procurer la suite de cet article

Benabar était à l'Acclameur. Mais les Niortais ne l'ont pas vu.
Niort. Bénabar : de maigres retombées

La salle de l'Acclameur qui n'est pas encore officiellement en service, a accueilli le chanteur Bénabar en résidence. L'objectif était de faire connaître ce nouvel équipement niortais, mais il semble que les retombées médiatiques soient bien maigres.

C'est dans le "Courrier de l'Ouest"

Merci

Sais-tu de quand ça date ???
mais a priori pas de soucis puisque mon oncle et ma tante connaissent mes goûts ... ils ont du le garder

Clem a écrit:

Sais-tu de quand ça date ???
mais a priori pas de soucis (pourvu que ce soit pas encore parti au recyclage ^^)

C'est dans l'édition d'aujoud'hui. Merci !

Ok, c'est bon donc, je récupère ça ce soir !!

Bénabar avant son concert à Forest National: «En tournée, on fait gaffe à sa silhouette»

BRUXELLES/FOREST - Bénabar aime Bruxelles. Il a vécu à Saint-Josse. Y a rencontré l’amour. Et y passe très souvent, en studio, en concert ou en tournage. Par contre, il ne raffole ni de bière ni de stoemp, comme il nous l’avoue avant de revenir à Forest National ce 20 mars.

Bénabar, vous connaissez bien Bruxelles. Quel attrait lui trouvez-vous ?

Ce que j’aime à Bruxelles, c’est qu’il y a les avantages de la capitale sans trop d’inconvénients. Il n’y a pas de sélection par l’argent comme à Paris, la qualité de vie y est supérieure sans doute. C’est un peu moins le cas aujourd’hui, mais c’était particulièrement vrai il y a 10 ans. Paris a ce côté écrasant, cannibale, que tu ne trouves pas à Bruxelles.

Vous avez vécu à Saint-Josse et revenez souvent à Bruxelles…

C’est une ville qui a beaucoup compté pour moi. J’ai avec elle un rapport sentimental. J’y ai plein d’amis et chaque retour me procure un pincement au cœur. J’ai enregistré le dernier album, "Les Bénéifices du Doute", au studio ICP à Ixelles et j’ai tourné à Bruxelles le seul film dans lequel j’ai joué. Et puis j’y suis souvent sur scène, à l’AB ou à Forest National.

Vous y avez des souvenirs de scène particuliers ?

J’ai ce souvenir pas folichon à Couleur Café. J’ai eu une panne en plein concert : plus rien ne fonctionnait. Le public a cru que je le faisais exprès et m’a un peu critiqué, croyant que je jouais au snob en faisant ma vedette.

On doit s’attendre à quoi pour votre concert du 20 mars ?

C’est un vrai spectacle : nous sommes 11 sur scène, avec des cuivres, des guitares, des choristes, des décors, un show lumineux… Ce n’est donc pas simplement un album rejoué sur scène. Je ne compte d’ailleurs jouer que 3 ou 4 titres du dernier disque. Et j’entrecoupe le show de sketchs et d’épisodes festifs.

Vous êtes connu pour vos gesticulations et votre sens de la scène: le théâtre, ça vous aide ?

Toutes les expériences servent. Mais il est vrai que 80 dates avec Jacques Weber, ça fait des heures de vol.

La tournée doit bouffer votre temps: vous avez des moments pour autre chose ?

Ça permet quand même de réfléchir à d’autres trucs, même si ça dévore tout c’est vrai. Les deux heures qu’on passe sur scène, ça nous prend la journée.

Jouez-vous au coach de foot avec vos musiciens: repassez-vous les erreurs de la soirée en analyse vidéo ?

Coach, je dirais pas, non. Mais on fait des petits débriefings pour corriger les erreurs. On en fait tous, moi le premier. Mais je laisse de la liberté à mes musiciens : je les cadre, mais ne les emmerde pas. Ils doivent être à l’aise pour donner le meilleur. Comme un joueur de foot finalement, mais aussi comme dans tous les autres domaines.

On se bat pour être musicien de Bénabar ?

Je ne crois pas, non. D’autant que je travaille beaucoup avec les mêmes, donc les places sont prises.

Bon, parlons choses sérieuses: vous buvez de la bière ?

Oui, mais je préfère le vin : mes années à Bruxelles ne m’ont pas encore changé.

Et au menu dans les loges, à Forest National, il y aura de la gastronomie bruxelloise ? Du stoemp ? Des frites?

Non ! Du caviar, de la coke et du champagne, bien sûr ! Je rigole, évidemment. Mais il n’y aura pas de gastronomie bruxelloise au menu. On fait tous un peu attention à notre silhouette : il ne faut donc pas exagérer avec les buffets. Pour faire honneur à la gastronomie belge, je préfère revenir exclusivement pour ça.

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L'article est accompagné d'un diaporama

Sympa ! Merci.

Merci Kiki !!!

Clem a écrit:

Ok, c'est bon donc, je récupère ça ce soir !!

Et bien finalement ce sera pour demain ... impossible de joindre mon oncle et ma tante ...

Oh c'est pas bien grave Clem. Ne te mets pas martel en tête pour un article.

Ca me fera une occasion d'aller les voir

Et voilà donc ce que vous attendiez, un petit bilan sur la présence de Bénabar à Niort ainsi qu'une réponse de l'opposition !

Clem.

Vraiment pas cool du tout le Thébault !

Oui, mais c'est son rôle aussi ... vive l'opposition

Cela dit, je trouve un peu bizarre comme procédé de payer un chanteur pour qu'il répète dans une salle... On comprend bien le souci de promotion pour les gérants de la salle, mais il me semble que ça devrait être le contraire, non ? Ou je n'ai rien compris à l'article (ce serait bien la première fois ).

Ce qui me choque beaucoup plus, c'est que les techniciens dorment dans le car pendant que les musiciens sont à l'hôtel... Pas très démocratique tout ça...

Merci Clem.

J'ai un peu le même avis que Laurence... je comprends pas pourquoi payer un artiste pour qu'il répète...
Mais merci Clem !